Lorsque tu arrives,
Le ciel depuis longtemps s’est habillé de fêtes et de patience.
Tes premières heures sont celles d’un monde à jamais espérant,
Je cherche dans ta main l’ombre nacrée des murmures d’avenir
Et j’y trouve, surprise, la conscience scintillante d’un bouquet fleuri.
© Man0umi 2015 – Tous droits réservés
Très beau texte !
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